J’étais parti pour enquêter.
J’aurais voulu savoir si les morts « avec covid » étaient comptés pour morts « de la covid », comme me le suggérait Philippe DB.
C’est que je n’ai aucune confiance en ces chiffres de la covid qui nous sont servis jour après jour. Je crois que les médias et le gouvernement nous manipulent.
N’avaient-ils pas déjà annoncé en mars que les masques pour
le « grand public » ne servaient à rien ?
Qui ment une fois, mentira encore.
Mais les données nécessaires à ma démonstration sont trop difficiles, peut-être impossibles, à trouver. Les études sur les causes de la mortalité en France semblent en outre s’être arrêtées en 2016.
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J’ai quand même relevé cette page :
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2385258
Bizarre que ni le graphique, ni le tableau ne donnent d’indication des morts de la grippe. Ils doivent pourtant bien figurer quelque part, dans une de ces cinq classes.
Alors, la grippe est-elle une maladie infectieuse ou une
maladie respiratoire ?
Ben, les deux, voyons. D’où déjà un problème de
classification…
Puis j’ai trouvé ça sur le site de la « Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques / Santé publique France » :
Du coup, on constate que les maladies chroniques des poumons (dont par exemple celles que provoque l’amiante) et les pneumonies font davantage de morts que la grippe, quarante fois plus. Même l’asthme (dont celui que provoquent les pollutions industrielles) est plus mortifère que la grippe.
Les causes de mortalité étant classées dans l’ordre décroissant de fréquence, on se doutait bien que les cancers pointeraient en tête, cancers qui se multiplient et se diversifient au rythme de la dégradation de notre qualité de vie, des saletés que nous ingurgitons et respirons et qu’on soigne un peu moins vite ces temps-ci, soit dit en passant.
Les maladies cardio-vasculaires arrivent en second, évidemment, rapport à notre mode de vie sédentaire de larves assises au bureau, dans la voiture, devant la télé, et à notre régime alimentaire hypercalorique, trop salé, trop glucidique.
Les deux ensemble causent plus des deux tiers des décès (c’est vrai qu’on vit plus vieux et donc avec davantage de chances de finir bien déglingué).
On ne voit cependant ni la pollution, ni l’obésité citées comme
causes de mortalité.
Etonnant, non ?
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Enfin, dans 12% des cas, on ne sait pas, les causes du décès sont mal définies. Et ça se comprend.
Si une personne a une crise cardiaque au volant, que la
voiture fait des tonneaux et qu’après ça la personne a une fracture de l’os
temporal et en meurt, on va dire quoi ?
Qu’elle est morte de la crise
cardiaque ?
Qu’elle est morte de l’accident de la route ?
Choisir l’une ou l’autre solution dépendra de ce qu’on veut
démontrer.
Le plus honnête serait de classer dans « causes multiples ».
Et tous les ouvriers, morts suite à l’exposition à l’amiante, avaient-ils été durant toutes ces années classés morts de maladie professionnelle, morts d’avoir respiré des fibres d’amiante ? Certes, non. Ils étaient bêtement morts d’un cancer du poumon ou d’asbestose par exemple. « Ils fumaient trop » pouvait alors constituer un argument utile aux ligues anti-tabac.
Et même quand vous mourez d’un cancer, on pourrait malhonnêtement considérer que vous n’êtes mort que parce que l’un de vos organes vitaux a subitement cessé de fonctionner : les poumons, le cœur, les reins…
Il me semble qu’il ne faut donc jamais s’arrêter à la cause dernière du décès mais au contraire toujours revenir aux causes premières.
Alors je me dis que Philippe a raison : les morts sur lesquels on aura détecté le virus ont forcément été attribués à la covid.
Qu’ils aient été malades de la covid ou pas.
Car être porteur du virus ne signifie pas être malade - comme il y a forcément chaque année un tas de gens qui se baladent avec le virus de la grippe (rien que ceux qui se font vacciner) et n’en deviennent pas pour autant des patients et ne sont donc pas comptabilisés dans les chiffres des malades de la grippe.
Il sont asymptomatiques. Ils n’ont pas de symptôme, ils ne sont pas malades.
Mais pour la covid, il est certain que le moindre test
positif, en dehors de toute autre considération, ajoute un malade à la somme
des malades du covid.
C’est une malhonnêteté.
Le conseil de défense a évidemment un besoin urgent de
prouver qu’il a raison de nous confiner.
La fin justifiant les moyens...
Richard
Un peu long, mais tout y est.
https://www.youtube.com/watch?v=lvO5LN3Wx44&feature=youtu.be
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