Je sais, il y a les ordonnances sur la loi travail. C’est
important, mais voici un autre forfait macronien qu’il ne faudrait tout de même
pas oublier : l’extension de la vaccination obligatoire. En plus de la
diphtérie, du tétanos et de la poliomyélite, huit vaccinations - hépatite B,
oreillons, rougeole, rubéole, coqueluche, haemophilus influenza b, méningocoque,
pneumocoque - vont en effet devenir obligatoires en 2018. La ministre l’a
dit : elle ne transigera pas sur cette question. Comme je le prédisais, je
ne sais plus à qui, pendant la campagne électorale : « Macron, c’est
le libéralisme ou bien sa main sur not’ gueule. »
Et moi, je dis que c’est un scandale, d’abord politique, parce
que si de plus en plus de gens se posent désormais des questions à propos de la
vaccination, voire s’en défient, notre gouvernement, lui, se bouche
ostensiblement les oreilles et nous impose sa volonté sans même chercher à
savoir ce que la majorité d’entre nous en pense.
Une consultation de la population, une enquête approfondie,
une mise à plat du pour et du contre devraient tout de même permettre d’y voir
clair - non ? Et quoi qu’il en soit, la liberté de se vacciner ou pas, de
vacciner ou pas ses enfants, devrait être la norme dans un état de droit. Mais
non, pas possible en France, où l’on reste sottement englué dans le dogme, le
doigt sur la couture du pantalon. Ah, la Suisse ! Oui, ça, c’est une
démocratie :
Cette obligation vaccinale est ensuite un scandale éthique parce
que, tandis que de nombreux médecins et chercheurs émettent au minimum des
doutes quant à l’efficacité des vaccins, lorsqu’ils n’en dénoncent pas les
dangers, seuls des soi-disant experts pro vaccination, tout droit sortis des
laboratoires qui en vivent, sont invités à en faire l’éloge et la publicité
dans les médias. Je ne peux pas croire que ces gens-là, à moins qu’ils soient
bêtes, soient sincèrement convaincus de ce qu’ils nous racontent. En vérité, je
pense qu’ils se sont assis sur leur esprit critique (afin de l’étouffer) en
même temps que sur leur dignité.
Mais voici une dame qui aurait mérité d’être mieux
entendue :
Et une étude fort intéressante :
Sur un sujet aussi important, le débat, qui permettrait de confronter
les idées, de faire état de toutes les études réalisées, au moins face à une
commission de l’Assemblée Nationale ou du Sénat, n’existe pas, ne peut pas
exister dans la France de la Vème République, et encore moins dans la France de
« En Marche ». Pire qu’aux temps de l’obscurantisme, ce sont des diafoirus
modernes qui nous imposent d’inutiles et parfois dangereux lavements et
saignées. Et le bourrage de crâne continue.
La vaccination est enfin un scandale sanitaire, parce que
les vaccins sont dangereux pour la santé.
Ainsi la vaccination antivariolique a-t-elle provoqué, durant
les années 60 et le début des années 70, des dizaines de cas de méningite, cas
reconnus et indemnisés. La question reviendrait-elle dans l’actualité :
C’est ainsi que, il y a une vingtaine d’années, la
vaccination contre l’hépatite B a rendu malades de la sclérose en plaque des
centaines, peut-être des milliers, de jeunes français. C’est la Cour de Justice
Européenne qui le dit !
Ainsi la vaccination contre la grippe, en 2016, n’a pas su protéger
12 personnes qui en sont mortes en Italie et 6 personnes qui en sont mortes
aussi à Lyon en décembre 2016 et janvier 2017.
Ainsi en mars 2015, deux bébés mouraient après une
vaccination contre la gastro-entérite. Ne vous vient-il pas l’envie de vomir et
de hurler, quand vous songez à la détresse de ces pauvres parents.
« Mais non, disent les marchands de vaccins, Macron et
sa ministre en chœur, ce n’est pas si grave si quelques personnes par an
meurent ou deviennent handicapées à cause d’un vaccin, c’est le prix à payer
pour la protection du grand nombre et l’empêchement des épidémies. » Ils
n’ont même pas honte des horreurs qu’ils profèrent. Je voudrais bien voir leur
tête quand dans leur famille un bébé décèdera de leur cupidité sans vergogne. (Mais
peut-être qu’ils ne vaccinent pas leurs enfants, eux.)
On se demande bien ce qui peut justifier cette folie de
l’obligation vaccinale… Eh ben oui, pas compliqué, les amis, c’est le
libéralisme économique, le libéralisme à la Macron : il faut « libérer »,
non seulement le travail, mais encore et plus précisément libérer des freins à
la croissance toute l’industrie pharmaceutique ainsi que les dividendes de ses
actionnaires (dont Macron ou ses copains doivent être).
Notre président a en effet l’obsession d’enrichir ceux qui
sont déjà très riches, et cela non seulement aux frais du travailleur, du consommateur
et de la sécurité sociale - qui est normalement notre bien commun, mais dont
lui dispose comme si c’était sa banque - mais aussi sans le moindre souci de
notre santé, quitte même à nous laisser empoisonner.
Quoi ? Vous pensez qu’il ne ferait pas ça ?
Détrompez-vous. Songez seulement aux derniers scandales liés à des médicaments
foireux ; vous aurez bien du mal à vous souvenir de la voix d’un ministre
ou d’un président condamnant les industries assassines ou exprimant quelque
compassion pour les victimes ; noblement, ces messieurs-dames laissent
faire la justice... En revanche, quand un cadre se fait un peu tirer la chemise
par un syndicaliste, là, ils s’offusquent, vilipendent, condamnent et soufflent
à la justice ce qu’elle doit faire.
A gerber ! Mais tenez, pour finir et peut-être vous
convaincre, voici deux arguments qui, à mon sens, prouvent que la vaccination
est une aberration, une ânerie, du pipeau.
Quand, par exemple, les vaccinalistes prétendent qu’il faut
se vacciner tous les dix ans pour continuer d’être protégé contre une certaine
maladie et qu’une population n’est protégée contre cette même maladie que si au
moins 80%, voire 90%, de ses membres sont vaccinés, alors je peux vous dire
qu’à cause de salauds comme moi, qui ai refusé que mes enfants soient vaccinés,
vous n’êtes pas du tout protégés, les amis… et plus encore parce que depuis mon
service militaire (1975), je n’ai pas reçu un seul vaccin, comme l’immense
majorité des Français, vu qu’il y a encore pas mal de rescapés mâles de l’année
1953 et des suivantes, et des femmes qui ne faisait pas le service et dont le
dernier vaccin remonte au moins à leur préadolescence.
Et puis, franchement, ça n’a aucun sens de vacciner les gens
d’un pays qui chaque année reçoit 90 millions de touristes du monde entier, qui
se voit traversé par un nombre incalculable de vacanciers et de transporteurs, un
pays qui a 4 millions de résidents étrangers et 400.000 clandestins, un pays dont
2,5 millions de ressortissants vivent sur les cinq continents et rentrent de
temps en temps voir leur famille, un pays qui envoie 13.000 soldats en
opérations extérieures, et j’oublie certainement quelques catégories de vivants
comme les rats dans les bateaux et les puces dans les avions. Tout ce beau monde
circule dans tous les sens, côtoyant la plupart du temps des populations pas
vaccinées aussi « bien » que nous et parfois même des hurluberlus
anachroniques sans carnet de vaccination du tout, et ce monde-là trimballe donc
forcément avec lui, dans ses bagages, et en lui, dans ses poumons, son foie et
ses viscères, tout un tas de microbes et de virus contre lesquels il faudrait
dare-dare trouver un vaccin à inoculer à toute la planète.
La dernière trouvaille des labos, summum du foutage de
gueule : des vaccins contre le cancer.
Qu’est-ce qu’on peut faire contre autant de connerie ? Ben,
résister, comme d’habitude, ne pas transiger, refuser la vaccination.