mardi 19 septembre 2017

A chaud, 19 septembre

Ces jours-ci, sur France-Inter, à l’heure du petit-déjeuner.

Prime à la casse de 500 à 1000 euros étendue à l’achat d’une voiture d’occasion non (moins) polluante. On respirera mieux, paraît-il. Je veux bien, mais à la vérité, donner de l’argent pour acheter une voiture, c’est surtout :
1. subventionner les constructeurs automobiles
2. encourager le citoyen à polluer
Tant qu’à payer, une meilleure idée aurait été de rembourser l’abonnement aux transports en commun. Et là, ça polluait vraiment moins.

Les Américains encore attaqués ! Cette fois, c’est l’ambassade des Etats-Unis à Cuba, visée par une attaque sonore. Il s’agirait de machines infernales planquées dans les murs du bâtiment. Les diplomates se plaignent de maux de tête. Washington envisage de retirer son ambassade.
Ca rappelle la cyber-attaque menée par le Kremlin pendant la campagne électorale et qui a fait perdre Clinton Hillary. On attend toujours les preuves. Ou bien suffisait-il que la Maison Blanche accuse pour que ce soit vrai ?
Ca rappelle aussi les armes de destruction massive de Saddam Hussein. On sait maintenant que c’était faux. Sacré menteurs, ces Amerloques ! Manipulateurs, devrais-je dire. D’ici à ce qu’ils envahissent enfin Cuba…
Ca rappelle que pour justifier l’invasion de la Pologne, Hitler avait fait tuer de ses propres soldats par des Allemands déguisés en Polonais.
Je vous fais un dessin ?

La multinationale Bayer (Monsanto), qui prospère sur le malheur des gens en faisant semblant de les soigner, annonce qu’elle va retirer un certain implant contraceptif pour des raisons commerciales, mais en réalité, ce sont des centaines de femmes (rien qu’en France) qui en ont subi de graves effets secondaires. « L’Europe » ayant déjà reconnu l’an dernier que ce dispositif (médical ?) était dangereux, le moins qu’on puisse dire est que Bayer et le gouvernement français sont lents à la détente, sans doute afin que les stocks puissent être écoulés, empoisonnant quelques femmes supplémentaires au passage sans que ça leur pose un problème de conscience.
Ca rappelle évidemment le cas récent de ce médicament pour la thyroïde dont beaucoup de personnes se plaignent : d’abord le gouvernement, ferme et fermé à la discussion, nous a craché à la figure qu’il n’est « pas question de céder aux pressions », de revenir en arrière, à l’ancienne formule qui marchait pourtant bien, le patron du laboratoire nous expliquant même que ce médicament était une demande de l’état et que les symptômes disparaîtraient dans quelques mois, c’est-à-dire que : 1. ce n’est pas de sa faute, c’est l’autre ; 2. il est normal que son médicament vous rende plus malade que vous l’êtes.
Et finalement on apprend que La-France va acheter l’ancien médicament chez ses voisins belges et allemands qui eux n’ont pas éprouvé le besoin d’en changer puisqu’il marchait bien.
Alors, merdre ! pourquoi le gouvernement français a-t-il voulu changer ? Vous dites quoi ? pour faire un cadeau au laboratoire ? Corruption ? Nooon ! Ils ne nous feraient pas ça, tout de même !


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