Voici, au cas où vous seriez
en congé, des nouvelles du monde selon tous les journaux télévisuels.
Il y aurait de l’eau sur Mars.
Cette question de l’eau sur
Mars dont on nous bassine depuis quelques années est-elle vraiment si passionnante ?
Sans doute y a-t-il aussi de l’eau sur
Jupiter et Pluton, et sur la Lune et jusqu’au fin fond de la galaxie, et de
l’univers. Et alors ? Quand est-ce qu’on y va, camper au bord du
lac ?
C’est la canicule.
Par parenthèses, ça fait déjà
un moment, mais enfin, c’était la coupe du monde, hein… Bref, il suffit de le
dire pour que les Français s’en rendent compte : ils rentrent leurs vieux
et ils se mettent à boire de l’eau. Grave ! Ca me donne une idée : si
j’avais des sous, j’irais sur Mars, je mettrais son eau en bouteilles, je la
ramènerais sur Terre et la vendrais aux gogos qui ne savent pas quoi faire de
leur pognon et je deviendrais plus riche encore. Mais j’ai pas les moyens.
Affaire Benalla.
Le parti LR présenté unanimement
comme chef de file de l’opposition. Les autres partis ont l’air de suivre.
C’est que les propriétaires des chaînes, après avoir soutenu et encensé Macron,
sont prêts à le jeter comme un vieux tampax et à le remplacer par un neuf,
pourvu qu’il soit de droite et ultra-libéral. Faudrait surtout pas que La
France Insoumise gagne en popularité !
Affaire Benalla.
« J’ai fait une grosse
bêtise » fait-il semblant de confesser, le sbire de la présidence. En le
voyant dans cette vidéo flanquer un coup de poing sur la nuque du méchant
« gaucho », j’avais d’abord pensé que Benalla était du Front
National. Que ce soit juste un pote à Macron me réjouit, je l’avoue. Marine,
pour sa part, doit boire du petit lait. Comme punition proportionnée à sa
faute, je propose qu’on le prive de dessert pendant une semaine.
Affaire Benalla.
Macron condamné à s’expliquer
(sans s’expliquer), tout En Marchant et tout suant, dans des villages reculés
des lointaines Pyrénées. Vraiment, on dirait une bête aux abois. Les
journalistes devraient avoir pitié, le laisser tranquille, quoi. Mais peut-être
qu’après tout, c’est ça qu’il veut, lui ?
Donald Trump lui a dit : « Merci,
Jean-Claude. »
C’est évidemment parce que
dans les négociations sur le libre échange EU - UE, Juncker a baissé le froc de
l’Europe pour que les Allemands puissent encore vendre des bagnoles aux States.
Autrement, je ne vois pas pourquoi Trumpy aurait eu l’air si joyeux. Ah, on est
bien servi !
L’EPR a de nouveau des problèmes techniques.
Je sais plus lesquels - des
joints, des soudures, des fissures ou des soucis de casseroles - mais ça
commence à nous coûter cher, cette lubie.
Une bonne nouvelle ?
Euh… Où ça en est avec le Parcoursup ?
Si ça n'est pas de la provocation, parler de "tempête dans un verre d'eau" en pleine canicule!
RépondreSupprimerLa preuve est faite que Juncker (prononcer "Younqueure") roule pour Volkswagen ( prononcer "Folksvaagueune").
L'allumé de l'Elysée a l'air de trouver ça normal, il aurait déclaré: "tout ça c'est une tempête dans un verre d'eau".
L'EPR a des problèmes techniques et ça va nous coûter bonbon. Le climat a aussi des problèmes techniques et on va en crever. Mais tout le monde s'en fout à commencer par Donald et Manu.
Alain